lundi 27 mai 2013

Mes coupures de presse(2): Cocobulles

Première édition du festival de BD à Grand-Bassam(Côte d'Ivoire) en 2001.  
Une belle initiative qui a mis du baume au coeur des férus de cette discipline. Ah, la bande dessinée! Médium à cheval sur la littérature, le cinéma et le graphisme. Longtemps considéré comme un genre mineur dont le centenaire a été fêté en 1996. 
Vivement la reprise de ce festival pour les amoureux des cases et des bulles!  Affaire à suivre!

Elections en Afrique

Strips réalisés lors de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire parus dans le quotidien ivoirien Fraternité Matin des 19 et 20 octobre 1995. Un récit humoristique sur fond de vérité. Élection oblige! C'était une grande première dans la mesure où je n'avais pas encore été publié dans un organe de presse de cette envergure. 

Mes coupures de presse(1): Le peintre ivoirien Zirignon Alain

L'artiste-peintre ivoirien Alain Zirignon avec le ministre Bernard Zadi Zaourou. Que de souvenirs!
Lire plus à http://lecomicsworlddekbenjamin.blogspot.com/
 

mercredi 15 mai 2013

Ah! La malheureuse!

Quel évènement ! Dramatique ! Ah !
Ma chambre a connu l’enfer de l'entrée fracassante d’une  visiteuse pas comme les autres.  Nuitamment. Des documents d’une importance capitale (coupures de presse, journaux…) conservés depuis des lustres portent sa marque. Elle n’a pas daigné nous prévenir. Elle n'a pas fait dans la dentelle non plus. La malheureuse ! La pluie! Une diluvienne en plus. Du coup, inondation. Les documents, on a pu en sauver. D’autres par contre non. Ils ont connu un sort tragique qui les a conduits à leur dernière demeure : la poubelle. A mon corps défendant bien-sûr. Les rescapés seront scannés, conservés sur mon disque dur. Quelques uns seront mis en ligne. Sur mes blogs et facebook.
Une rubrique à cet effet sera créé d’ici peu. Elle s’intitulera : Mes coupures de presse.

vendredi 3 mai 2013

Une belle randonnée livresque!(2)



Ma deuxième randonnée livresque a eu lieu ce mardi 30 avril 2013. Elle a connu le même train-train que la première. A savoir : embouteillage, chaleur, marches, etc. Il n’y a pas eu de changement notable.
La première destination fut le Plateau, quartier des affaires à Abidjan. Avec ses beaux buildings, ses rues bien tracées, ses artères grouillant de monde à la recherche de quoi ? Je ne saurai vous le dire. Je me rends à la librairie de France pour rencontrer M. Médard Prao, responsable de réseaux dans ladite entreprise. Il était absent. Je laisse un exemplaire de l’album Les envahisseurs au responsable du rayon BD qui se prénomme Hugues.
Je pars ensuite en Zone 4(Marcory), à la rue Lumière au siège des quotidiens L’Inter et Soir Info déposer deux exemplaires pour les journalistes responsables du service culture.
De là, sous un soleil de plomb -on y est habitué maintenant (rires), je prends la direction du groupe Fraternité Matin où je laisse un exemplaire au service courrier pour les journalistes du service culture.
Je m’engouffre dans un gbaka (un moyen de transport abidjanais) pour la librairie L’Harmattan Côte d’Ivoire sise à la Cité des arts de Cocody. Question de m’assurer de la disponibilité de mon album Les envahisseurs. Peine perdue ! Il faut encore attendre. Je jette un coup d’œil sur les albums disponibles : Cargaison mortelle, Jungle urbaine, Mokanda illusion, Chronique de Brazzaville… Ma préférence va à l’endroit de Mokanda illusion du congolais Mongo Sisé. Je l’achète. Il faut soutenir les auteurs et la création. C’est pour moi un principe sacré. Ma bibliothèque et des albums encore dans de nombreux cartons le témoignent.
J’emprunte un taxi communal pour me rendre aux Deux-Plateaux, un autre quartier huppé d’Abidjan, à la rue des jardins. Chercher le siège du quotidien Le Jour Plus. Je descends à un carrefour sur le tronçon et décide d’emprunter le onze (faire le reste du trajet à pied). Question de mieux voir et découvrir. Il fallait prendre son courage à deux mains pour faire ce parcours. Car ce soleil de 11h45 mn était torride. Peine perdue ! Après quelques kilomètres, ne trouvant pas le siège en question, je rebrousse chemin et rentre chez moi. Pour un repos bien mérité.
Ah, Les envahisseurs ! Que ne ferait-on pas pour toi, cher enfant !